Rouge Velour
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Rouge Velour
C’est au quai de cette gare, que nos visages se croisent.
Pour la première fois, je ressens un soupçon d’espoir.
Une chaleur émane de ton regard, s’est posée sur moi.
La naissance d’un amour intense, je veux tant y croire.
D’une femme tel que toi, comment puis-je espérer?
Dans ma tête tout se mélange et ne peux t’approcher.
Pour moi simplet, doit me résigner que de fabuler.
Qui veux d’un homme insignifiant? Je ne peux qu’avouer.
Dans ce brouillard sombre et épais, la porte s’est refermée.
Lentement le train s’éloigna, je ne peux le regarder s’en aller.
La rousse à la cape rouge, un jour par la suite te reverrais-je?
Impuissant, je t’observais t’évanouir au loin tu t’es effacé…
Le lendemain se reproduit la même scène, conjuguant le même savoir.
M’ensorcelle, m’entraîne dans ce doux mirage, je revie la même histoire.
M’entraîne dans un dilemme que j’ose espérer, se jumelle, se fait valoir!
Je m’emballe armé de courage a venir t’accoster, te parler, j’en ai la foi.
Impassible à la même place, sage tu attendais ton train tout en observant,
Les allées et venues de ces milliers de pèlerins pressés et impatients.
Par moments, un regard, un sourire m’était destiné, me laissant confus.
Pourtant encore, dans le wagon tu es entré, et puis tu as disparu.
Dans ce brouillard sombre et épais, la porte s’est refermée.
Lentement il s’éloigna, je ne pouvais que te laisser t’éclipser.
La rousse à la cape rouge, un soir ensuite te recroiserais-je?
Innocent, je t’observais t’évanouir, au loin tu t’es effacé…
Les jours suivants, mêmes rengaines toujours la même situation,
Dans cette mascarade cette fois, ton train n’arrivait a destination.
C’est alors que prés de moi tu t’es approché et m’a proposé un café.
Perturbé, que pouvais- je imagier de plus, je vous laisse deviner.
De ses yeux azur, je pouvais deviner la douceur incarnée
C’est là, que je compris que rien ne pourrait se passer
Elle ne voulait pas me voir plus espérer car elle est mariée
Et s’enfuit rapidement pour ne pas rater ce bref arrêt
Dans ce brouillard sombre et épais, la porte s’est refermée.
Lentement le train s’éloigna, je ne peux le regarder s’en aller.
La rousse à la cape rouge, jamais un jour je ne te reverrais.
Impuissant, je t’observais t’évanouir au loin tu t’es effacé…
Pour la première fois, je ressens un soupçon d’espoir.
Une chaleur émane de ton regard, s’est posée sur moi.
La naissance d’un amour intense, je veux tant y croire.
D’une femme tel que toi, comment puis-je espérer?
Dans ma tête tout se mélange et ne peux t’approcher.
Pour moi simplet, doit me résigner que de fabuler.
Qui veux d’un homme insignifiant? Je ne peux qu’avouer.
Dans ce brouillard sombre et épais, la porte s’est refermée.
Lentement le train s’éloigna, je ne peux le regarder s’en aller.
La rousse à la cape rouge, un jour par la suite te reverrais-je?
Impuissant, je t’observais t’évanouir au loin tu t’es effacé…
Le lendemain se reproduit la même scène, conjuguant le même savoir.
M’ensorcelle, m’entraîne dans ce doux mirage, je revie la même histoire.
M’entraîne dans un dilemme que j’ose espérer, se jumelle, se fait valoir!
Je m’emballe armé de courage a venir t’accoster, te parler, j’en ai la foi.
Impassible à la même place, sage tu attendais ton train tout en observant,
Les allées et venues de ces milliers de pèlerins pressés et impatients.
Par moments, un regard, un sourire m’était destiné, me laissant confus.
Pourtant encore, dans le wagon tu es entré, et puis tu as disparu.
Dans ce brouillard sombre et épais, la porte s’est refermée.
Lentement il s’éloigna, je ne pouvais que te laisser t’éclipser.
La rousse à la cape rouge, un soir ensuite te recroiserais-je?
Innocent, je t’observais t’évanouir, au loin tu t’es effacé…
Les jours suivants, mêmes rengaines toujours la même situation,
Dans cette mascarade cette fois, ton train n’arrivait a destination.
C’est alors que prés de moi tu t’es approché et m’a proposé un café.
Perturbé, que pouvais- je imagier de plus, je vous laisse deviner.
De ses yeux azur, je pouvais deviner la douceur incarnée
C’est là, que je compris que rien ne pourrait se passer
Elle ne voulait pas me voir plus espérer car elle est mariée
Et s’enfuit rapidement pour ne pas rater ce bref arrêt
Dans ce brouillard sombre et épais, la porte s’est refermée.
Lentement le train s’éloigna, je ne peux le regarder s’en aller.
La rousse à la cape rouge, jamais un jour je ne te reverrais.
Impuissant, je t’observais t’évanouir au loin tu t’es effacé…
Re: Rouge Velour
merci pour le beau partage de ce poème.....merci......amicalement
POPA1234- Messages : 155
Date d'inscription : 29/06/2016
Age : 60
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