La jupe froissé ( Nouvelle erotique - En cours)
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La jupe froissé ( Nouvelle erotique - En cours)
Les vacances à Libreville demeuraient un problème ennuyeux que les autorités compétentes prenaient à la légère, en foutant pas mal de la moralité de sa masse - et de son efficacité à générer des profits pour le bien de la nation. Les quartiers laissaient à désirer, il n'y avait rien de particulier à noter, si ce n'est la pauvreté de la population, et de leur incontinence à la terre, plutôt qu'à la vie à ne rien faire. C'est tannant de ne devoir rien à faire pendant ces journées récréatives, à bailler toute la journée comme des ostrogoths sirupeux, qui oublient les moitiés de leur bière, tellement saouls qu'ils se demandent ce qui s'est passé au lendemain matin. Quelque part, un jeune homme tuait le temps, en espérant le changer un jour le cours de l’histoire, chaque jour se demandait comment sortir de ce désordre gargantuesque.
Rodrigue était un jeune etudiant en Anthropologie. Son rêve était de sortir de l'ornière, il songeait de l'immobilisme à tout va. Il voulait tellement vivre sa vie. Bien qu'il était de bonne foi, sa vie demeurait comme une nébuleuse.
— Qu'est-ce que tu fais? dit Catherine.
— J'écris un article.
— Tu aimes bien les machines.
Puis, Catherine vint arrêter comme par magie, l'ordinateur. Elle le regarda d'un drôle de regard. Comme si la relation commençait à peine. Elle en avait assez morne, et trop tranquille sans piment. Elle rangea la machine et commença à l'embrasser.
— Ciel, mon mari ! dit-elle.
Elle se releva, et tira Rodrigue par la main pour l'entraîner à la chambre. La journée était à son aurore, et elle venait à peine de prendre sa tasse de café, du vrai café, avec du beurre et de la confiture. Il était temps à Rodrigue d'en payer le prix. Tous les deux ôtèrent leur vêtement comme des princes, sans tricherie, puis, s'enlacèrent en tombant sur le lit. Rodrigue était nu, et Catherine avait une culotte blanche, et se mêlait l'un et l'autre, on eut dit qu'ils voulaient fondre. Les hanches de Catherine rythmaient, et l'homme s'enfonçait de plus en plus; et pendant ce temps, les mains de catherine touchait les balloches de son partenaire comme pour en tirer toute la substance. Catherine et Rodrigue se farfouillent, se tripotent. La culotte de Catherine est tout trempé de liquide, et lui malgré tout, ne s'empêche de la faire haleter, puis elle soulève ses hanches pour permettre à Rodrigue de rentrer au fond d'elle. Tous deux dans l'extase, c'est ainsi que Catherine ôte son slip, puis appelle son Rodrigue, elle ne veut plus tarder à folâtrer, et lui pénètre. Rodrigue sut un jour que pour une bonne partie de sexe, il fallait avant tout vider la première quantité de sperme, trop libre pour entraîner l'orgasme féminin. Et c'est en va-et-vient que les deux tourtereaux s'endiablaient, ils résistaient encore, encore pendant une dizaine de minutes, tellement le rythme est fort, et soudain interrompt l'orgasme de Catherine et Rodrigue pour célébrer Dyonisos, et c'était au tour de la honte, et des remords.
Catherine fila à la douche, car elle était toute sale, et Rodrigue, demeurait pensif à sa situation. Ancien étudiant depuis six ans, il ne trouvait aucune solution; il se posait des questions à maintes reprises, et avait des nuits blanches dans le noir à réfléchir sur son sort, désargenté, ne sachant trop comment le ciel pourrait le pousser vers l'avant. Sa pudeur ne le rendait pas hommage, et son talent de beau parleur le dévoilait si fragile; tout compte fait : Un romantique ! Tout le quartier parlait de son étrangeté; jusqu'à présent, personne ne l'avait encore vu avec une fille, et beaucoup se demandait comment il se comportait au lit, et s'il savait faire l'amour. Cela était important pour une femme, et même crucial pour la relation; et d'ailleurs même pour les hommes, la sensualité n'avait de secret pour personne, et les hommes devraient s'y mettre dans son parfum. Rodrigue prit son téléphone pour oublier son chagrin d'école, tout de suite, il pensa à Germina, puis passa à son ami Bertrand, le poète qui lui parlait de vers et de problèmes familiaux. C'est ainsi qu'il appela pour sortir de l'ornière quotidienne. Il marchait dans le quartier, et les filles murmuraient encore; et c'est Ophélie qui se démarqua pour le suivre en douce. Les filles voulaient tellement savoir pourquoi il était peu bavard, ou si infréquentable, seulement à saluer ce dont il était proche. Et, souvent, mains en poche, avec un manteau à capuche, il perçait la foule de la froidure en respirant promptement ce qu'il avait dans les poumons. Il arriva au bar ou son ami l'avait indiqué. Et quelque part, la fille resta à l'écart. Son ami Bertrand commença son histoire à un débit prolongé.
— Ah, et la réalité qui nous étripe, et nous voilà dans la boue à croire que tout est or. Et la vie nous dégarnie de ce qu'on a dans le cœur pour des biens matériels. Et quand je pense que vivre, c'est aimer de toute ses forces. A un tel point que nos actes soient conformes à nos paroles. Je marche sur le discours d'une âme pure, qu'on serait agréable d'être avec une belle fille aux fesses rondes. Peut être l'inattention fera qu'on soit passer près de la vérité, mais qu'est-ce qu'on apprend dans nos écoles si ce n'est qu'à être des vivants pour mort, et la vie, que peut bien signifier ce mot qui nous couvre de honte, et de maladie. Je me rappelle que mon père m'avait dit que je ne serai point un écrivain, mais un ouvrier, mais pourquoi bon dieu, les gens nous veulent de la rouille sans comprendre que l'âge industriel a commencé depuis bien des années. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi le travail intellectuel ne fait pas l'unanimité, et pourquoi la paresse est une bonne chose. Mais hélas ! Nos réflexions nous empoissonnent l'esprit à croire qu'on devrait laisser les choses comme ça, et qu'on devrait prier pour l'avenir. Mon père, a toujours eu, une pensée forte pour le travail, mais même lui, a échappé à l'éthique elle-même. Elle est pourtant là, je l'approche, mais mon calme, et fuyant de l'orgueil, et l'harmonie d'être seul ne semble résoudre rien, je pleure pour tous les hommes, et je me résolue de changer ma vie, aujourd'hui, j'écris des poèmes. J'ai trop écouté mes parents, et me voilà là perdu dans une ornière presque maudite, je n'arrive pas à comprendre si c'est moi qui ait merdé ou c'est la faute à la parentèle. Et des fois, je peints pour oublier mes erreurs, en me rappelant les bons jours. L'homme est un pouvoir, et une soif de vie et de sexe. A chaque instant, il vit une sorte de vérités qu'il ne conçoit pas, qui l’échappe, car n'ayant pas cette morale, il s’appauvrit n'ayant point la lucidité de se sacrifier pour son bien-être; et moi je suis dans ce cas, mais j'ai su m'en sortir, et c'est très alarmant. J'aime la solitude comme tout homme qui n'arrive pas à se détacher de son cœur trop aimé, et que la fraicheur de ma vie m'ensorcelle d'une vie ensoleillé sous l'ère de la misère. Que faire?
Rodrigue était un mi-paresseux, mi travailleur, qui savait ce qu'il faisait, et toujours dans ses réflexions. Le sujet de la misère a toujours été la clef de la réflexion humaine, mais une clef qui ne servait à ouvrir aucune porte. Et le jeune Rodrigue, perdue dans sa rêverie, il s'estompa :
— Je crois pour ma part que la réflexion est une belle chose. C'est d'ailleurs ce que l'on attise dans les écoles. Pour ma part, la vie, c'est l'école et le sexe. Il n'y a pas de meilleure que cette soif de grandir, et de disparaitre dans l'infini. Et un jour, quand je tiendrai une fille, je la défoncerai par tous les orifices, que mon souhait serait de l'occire comme un œuf.
— Ah, les femmes !
Et les deux jeunes hommes parlèrent de tout, et de sexes. Comme si le ciel s'était ouvert, et que l’éternité amoncelait un nouveau regard. Et les deux amis rattrapaient le temps perdu dans de belles paroles. Et la jeune bipait la jeune homme, et lui ne comprenait rien au numéro qui jouait avec ses nerfs. Puis il sortit, en faisant un signe à son ami de son retour. Il reconnaissait la jeune fille qui le regardait avec insistance, malgré la honte qui la tenaillait.
— Bonjour Fabrice. On dirait que tu n’as pas notre temps ?
C’était une question meurtrière qui assomma Rodrigue. Pourquoi maintenant ? Se demandait longuement, mais était là, à regarder la jeune fille comme un maboule. De quoi avait-il peur, de voir un ange qui descend du ciel avec toutes les formes dont il rêvait. Elle essayait de lui barrer la route, et lui tout timide, s’efforçait d’être normal.
— Qu’est-ce que tu veux ?
— Comment ça qu’est-ce que tu veux ? Mes copines et moi avions un plan pour toi. Es-tu intéressé ?
— Je n’ai pas trop de temps. Je ne sais quoi trop de dire, dit Rodrigue.
— Je ne connais un endroit. Viens.
Et les deux inconnus allèrent dans une douche du bar au défi de ses piliers pour découvrir la trame de toute cette histoire qui se profilait à l’horizon. Ophélie était une jeune fille qui n’hésitait pas, elle avait l’art du forcing.
Booster
Rodrigue était un jeune etudiant en Anthropologie. Son rêve était de sortir de l'ornière, il songeait de l'immobilisme à tout va. Il voulait tellement vivre sa vie. Bien qu'il était de bonne foi, sa vie demeurait comme une nébuleuse.
— Qu'est-ce que tu fais? dit Catherine.
— J'écris un article.
— Tu aimes bien les machines.
Puis, Catherine vint arrêter comme par magie, l'ordinateur. Elle le regarda d'un drôle de regard. Comme si la relation commençait à peine. Elle en avait assez morne, et trop tranquille sans piment. Elle rangea la machine et commença à l'embrasser.
— Ciel, mon mari ! dit-elle.
Elle se releva, et tira Rodrigue par la main pour l'entraîner à la chambre. La journée était à son aurore, et elle venait à peine de prendre sa tasse de café, du vrai café, avec du beurre et de la confiture. Il était temps à Rodrigue d'en payer le prix. Tous les deux ôtèrent leur vêtement comme des princes, sans tricherie, puis, s'enlacèrent en tombant sur le lit. Rodrigue était nu, et Catherine avait une culotte blanche, et se mêlait l'un et l'autre, on eut dit qu'ils voulaient fondre. Les hanches de Catherine rythmaient, et l'homme s'enfonçait de plus en plus; et pendant ce temps, les mains de catherine touchait les balloches de son partenaire comme pour en tirer toute la substance. Catherine et Rodrigue se farfouillent, se tripotent. La culotte de Catherine est tout trempé de liquide, et lui malgré tout, ne s'empêche de la faire haleter, puis elle soulève ses hanches pour permettre à Rodrigue de rentrer au fond d'elle. Tous deux dans l'extase, c'est ainsi que Catherine ôte son slip, puis appelle son Rodrigue, elle ne veut plus tarder à folâtrer, et lui pénètre. Rodrigue sut un jour que pour une bonne partie de sexe, il fallait avant tout vider la première quantité de sperme, trop libre pour entraîner l'orgasme féminin. Et c'est en va-et-vient que les deux tourtereaux s'endiablaient, ils résistaient encore, encore pendant une dizaine de minutes, tellement le rythme est fort, et soudain interrompt l'orgasme de Catherine et Rodrigue pour célébrer Dyonisos, et c'était au tour de la honte, et des remords.
Catherine fila à la douche, car elle était toute sale, et Rodrigue, demeurait pensif à sa situation. Ancien étudiant depuis six ans, il ne trouvait aucune solution; il se posait des questions à maintes reprises, et avait des nuits blanches dans le noir à réfléchir sur son sort, désargenté, ne sachant trop comment le ciel pourrait le pousser vers l'avant. Sa pudeur ne le rendait pas hommage, et son talent de beau parleur le dévoilait si fragile; tout compte fait : Un romantique ! Tout le quartier parlait de son étrangeté; jusqu'à présent, personne ne l'avait encore vu avec une fille, et beaucoup se demandait comment il se comportait au lit, et s'il savait faire l'amour. Cela était important pour une femme, et même crucial pour la relation; et d'ailleurs même pour les hommes, la sensualité n'avait de secret pour personne, et les hommes devraient s'y mettre dans son parfum. Rodrigue prit son téléphone pour oublier son chagrin d'école, tout de suite, il pensa à Germina, puis passa à son ami Bertrand, le poète qui lui parlait de vers et de problèmes familiaux. C'est ainsi qu'il appela pour sortir de l'ornière quotidienne. Il marchait dans le quartier, et les filles murmuraient encore; et c'est Ophélie qui se démarqua pour le suivre en douce. Les filles voulaient tellement savoir pourquoi il était peu bavard, ou si infréquentable, seulement à saluer ce dont il était proche. Et, souvent, mains en poche, avec un manteau à capuche, il perçait la foule de la froidure en respirant promptement ce qu'il avait dans les poumons. Il arriva au bar ou son ami l'avait indiqué. Et quelque part, la fille resta à l'écart. Son ami Bertrand commença son histoire à un débit prolongé.
— Ah, et la réalité qui nous étripe, et nous voilà dans la boue à croire que tout est or. Et la vie nous dégarnie de ce qu'on a dans le cœur pour des biens matériels. Et quand je pense que vivre, c'est aimer de toute ses forces. A un tel point que nos actes soient conformes à nos paroles. Je marche sur le discours d'une âme pure, qu'on serait agréable d'être avec une belle fille aux fesses rondes. Peut être l'inattention fera qu'on soit passer près de la vérité, mais qu'est-ce qu'on apprend dans nos écoles si ce n'est qu'à être des vivants pour mort, et la vie, que peut bien signifier ce mot qui nous couvre de honte, et de maladie. Je me rappelle que mon père m'avait dit que je ne serai point un écrivain, mais un ouvrier, mais pourquoi bon dieu, les gens nous veulent de la rouille sans comprendre que l'âge industriel a commencé depuis bien des années. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi le travail intellectuel ne fait pas l'unanimité, et pourquoi la paresse est une bonne chose. Mais hélas ! Nos réflexions nous empoissonnent l'esprit à croire qu'on devrait laisser les choses comme ça, et qu'on devrait prier pour l'avenir. Mon père, a toujours eu, une pensée forte pour le travail, mais même lui, a échappé à l'éthique elle-même. Elle est pourtant là, je l'approche, mais mon calme, et fuyant de l'orgueil, et l'harmonie d'être seul ne semble résoudre rien, je pleure pour tous les hommes, et je me résolue de changer ma vie, aujourd'hui, j'écris des poèmes. J'ai trop écouté mes parents, et me voilà là perdu dans une ornière presque maudite, je n'arrive pas à comprendre si c'est moi qui ait merdé ou c'est la faute à la parentèle. Et des fois, je peints pour oublier mes erreurs, en me rappelant les bons jours. L'homme est un pouvoir, et une soif de vie et de sexe. A chaque instant, il vit une sorte de vérités qu'il ne conçoit pas, qui l’échappe, car n'ayant pas cette morale, il s’appauvrit n'ayant point la lucidité de se sacrifier pour son bien-être; et moi je suis dans ce cas, mais j'ai su m'en sortir, et c'est très alarmant. J'aime la solitude comme tout homme qui n'arrive pas à se détacher de son cœur trop aimé, et que la fraicheur de ma vie m'ensorcelle d'une vie ensoleillé sous l'ère de la misère. Que faire?
Rodrigue était un mi-paresseux, mi travailleur, qui savait ce qu'il faisait, et toujours dans ses réflexions. Le sujet de la misère a toujours été la clef de la réflexion humaine, mais une clef qui ne servait à ouvrir aucune porte. Et le jeune Rodrigue, perdue dans sa rêverie, il s'estompa :
— Je crois pour ma part que la réflexion est une belle chose. C'est d'ailleurs ce que l'on attise dans les écoles. Pour ma part, la vie, c'est l'école et le sexe. Il n'y a pas de meilleure que cette soif de grandir, et de disparaitre dans l'infini. Et un jour, quand je tiendrai une fille, je la défoncerai par tous les orifices, que mon souhait serait de l'occire comme un œuf.
— Ah, les femmes !
Et les deux jeunes hommes parlèrent de tout, et de sexes. Comme si le ciel s'était ouvert, et que l’éternité amoncelait un nouveau regard. Et les deux amis rattrapaient le temps perdu dans de belles paroles. Et la jeune bipait la jeune homme, et lui ne comprenait rien au numéro qui jouait avec ses nerfs. Puis il sortit, en faisant un signe à son ami de son retour. Il reconnaissait la jeune fille qui le regardait avec insistance, malgré la honte qui la tenaillait.
— Bonjour Fabrice. On dirait que tu n’as pas notre temps ?
C’était une question meurtrière qui assomma Rodrigue. Pourquoi maintenant ? Se demandait longuement, mais était là, à regarder la jeune fille comme un maboule. De quoi avait-il peur, de voir un ange qui descend du ciel avec toutes les formes dont il rêvait. Elle essayait de lui barrer la route, et lui tout timide, s’efforçait d’être normal.
— Qu’est-ce que tu veux ?
— Comment ça qu’est-ce que tu veux ? Mes copines et moi avions un plan pour toi. Es-tu intéressé ?
— Je n’ai pas trop de temps. Je ne sais quoi trop de dire, dit Rodrigue.
— Je ne connais un endroit. Viens.
Et les deux inconnus allèrent dans une douche du bar au défi de ses piliers pour découvrir la trame de toute cette histoire qui se profilait à l’horizon. Ophélie était une jeune fille qui n’hésitait pas, elle avait l’art du forcing.
Booster
Ingenium- Messages : 6
Date d'inscription : 31/07/2016
Re: La jupe froissé ( Nouvelle erotique - En cours)
J'adore, hate de connaitre la suite....
Hanukkah- Messages : 27
Date d'inscription : 14/07/2016
Localisation : Île de France
Re: La jupe froissé ( Nouvelle erotique - En cours)
Très beau et surtout on veut la suite ;-)
Pocalova- modérateurs
- Messages : 19
Date d'inscription : 05/07/2016
Sandy06- Messages : 43
Date d'inscription : 31/07/2016
Age : 21
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