Biographie
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Biographie
Louise-Victorine Choquet nait à Paris le 30 novembre 1813. Elle passe une enfance solitaire à la campagne près de Montdidier au sud-est d’Amiens.
Sa mère essaye de lui donner une éducation catholique selon les convenances de l’époque, tandis que son père, homme de lettres et fervent admirateur des encyclopédistes, ouvre l’esprit de la jeune Louise à la littérature.
Envoyée en pension à Paris, elle découvre les œuvres des poètes anglais, Byron et Shakespeare, et allemands, Goethe et Schiller, ainsi que celles entre autres de Victor Hugo, d’Alfred de Musset et d’Alfred de Vigny. Son esprit se libère, elle commence à écrire en s’éloignant des conventions imposées par la religion.
En 1838, à la mort de son père, « le meilleur de pères », elle part à Berlin. Dans cette ville elle vit un moment de rêve. Elle découvre le tourbillon de la vie berlinoise rythmée par les questions philosophiques et littéraires.
De retour en France trois ans plus tard, à la mort de sa mère, elle rencontre Paul Ackermann qui tombe amoureux d’elle. N’ayant pas le courage de le repousser, elle l’épouse en 1843. Bien que de convenance, ce mariage se révèle, selon ses propres mots « exquis », et, deux ans plus tard, à la mort de son époux Louise Ackermann est profondément affectée. Elle va alors vivre avec une de ses sœurs à Nice où elle achète une propriété à la campagne. L’isolement de sa nouvelle demeure fait renaître son inspiration poétique. En 1855 elle publie Contes, suivi deContes et poésies en 1862 et de Poésies, premières poésies, poésies philosophiques en 1874.
Cette dernière publication retient l’attention des critiques littéraires. Ces poèmes sont marqués par un certain pessimisme romantique, peut-être réminiscence de son aventure allemande, et par un élan de révolte contre la souffrance humaine puisant dans la foi en l’esprit humain et en son indépendance. La puissance de ses vers se concentre sur la condition et acceptation de la condition humaine, refusant toute prétention religieuse et scientifique de connaissance de la Vérité.
Peu de temps après la publication de ce volume, Louise-Victorine Ackermann s’installe à Paris.
Elle meurt à Nice le 3 août 1890.
Sa mère essaye de lui donner une éducation catholique selon les convenances de l’époque, tandis que son père, homme de lettres et fervent admirateur des encyclopédistes, ouvre l’esprit de la jeune Louise à la littérature.
Envoyée en pension à Paris, elle découvre les œuvres des poètes anglais, Byron et Shakespeare, et allemands, Goethe et Schiller, ainsi que celles entre autres de Victor Hugo, d’Alfred de Musset et d’Alfred de Vigny. Son esprit se libère, elle commence à écrire en s’éloignant des conventions imposées par la religion.
En 1838, à la mort de son père, « le meilleur de pères », elle part à Berlin. Dans cette ville elle vit un moment de rêve. Elle découvre le tourbillon de la vie berlinoise rythmée par les questions philosophiques et littéraires.
De retour en France trois ans plus tard, à la mort de sa mère, elle rencontre Paul Ackermann qui tombe amoureux d’elle. N’ayant pas le courage de le repousser, elle l’épouse en 1843. Bien que de convenance, ce mariage se révèle, selon ses propres mots « exquis », et, deux ans plus tard, à la mort de son époux Louise Ackermann est profondément affectée. Elle va alors vivre avec une de ses sœurs à Nice où elle achète une propriété à la campagne. L’isolement de sa nouvelle demeure fait renaître son inspiration poétique. En 1855 elle publie Contes, suivi deContes et poésies en 1862 et de Poésies, premières poésies, poésies philosophiques en 1874.
Cette dernière publication retient l’attention des critiques littéraires. Ces poèmes sont marqués par un certain pessimisme romantique, peut-être réminiscence de son aventure allemande, et par un élan de révolte contre la souffrance humaine puisant dans la foi en l’esprit humain et en son indépendance. La puissance de ses vers se concentre sur la condition et acceptation de la condition humaine, refusant toute prétention religieuse et scientifique de connaissance de la Vérité.
Peu de temps après la publication de ce volume, Louise-Victorine Ackermann s’installe à Paris.
Elle meurt à Nice le 3 août 1890.
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