La raison
3 participants
La raison
Pour qui, pour quoi, faut-il refuser l'évident ?
Pour quoi, pour qui, donnez raison à des cons ?
Pour nous, sûrement pas pour faire semblant,
C'n'est pas à nous de s'abonner aux leçons.
A quoi, à qui, vaut-il s’abonner d’violences ?
A qui, à quoi, pardonner sans façon aux sal’fions… ?
Chez nous, certainement sans airs, ni révérences,
C’est à vous d’vous agenouiller sous leurs violences ?
C'est bien à eux de prendre de justes références,
Sans jamais magouiller aux sons de leurs faux canons,
Quand certains déjà entament encore la polémique,
Croire que guerre est un problème épidémique.
Combien même surprendre pure de leurs indifférences et d’insuffisances,
A parler et souligner face a ces Bédouins jumelés sans façons, ni leçons,
Vents incertains semant et entravent, ils picorent l’air incertain et lubrique,
La foi, nourri terres de sagesses reste satirique et depuis en sommes tous ludique.
Nous les combattrons avec nos beaux mots d’humour,
A ceux qui ne comprennent pas nos maux d’amour,
S’ils pensent que la mort est leur unique paradis,
Qu’ils y aillent sans nous, c’est bien ce qu’on leur dit.
Ils s’exposent sous quelques pseudos, nous engloutissent, nous envahissent,
Nous imbibes et essais de nous convaincre, côtoies avec certaines âmes faibles,
Meurtris, s’animent et relancent de leurs magies satiriques pour la vie, s’exhibent,
La poésie s’exclue parfois. Car ils savent que nous sommes tous Charlie et fier.
De qui ? De quoi ? Faut-il imprimer la malchance,
De quoi ? De qui ? Donner sans façon, sans audience,
L’unité de nos réponses se doit d’être unanime,
Barrer les crimes odieux amenant la déprime.
Pour quoi ? Pour qui ? Faut-il s’emballer et protéger nos enfants.
Pour qui ? Pour quoi ? Offrir mille raisons, sans souffrances.
S’invitant de nonchalance, nous soudoyez de proverbes intimes.
Saupoudrant de bien vaillances, vouloir nous protéger, chance ultime…
Pour nos parents qui déjà ont passés les guerres,
Pour nos enfants, ne vivent les souffrances de naguère,
La raison, sans ces fous, doit enfin l’emporter,
Pour qu’une paix durable soit toujours adoptée.
Offrir à nos enfants meilleurs avenirs sans prise de tête
Prouver à nos parents qu’on est mieux qu’eux, on s’entête
Avec mille façons, éloigné de ces Fous, les ignorer, les éloigner
On s’acharne a tue tête, loin de ces fanatiques, qu’on va éliminer
Révolutions justifiées face aux dictateurs,
Ne doivent être remplacées par des prédicateurs,
Par certaines politiques, invités à la chaîne,
Pour qu’aujourd’hui, comme avant, on se déchaîne.
Évolution sacrifiée, de grâce aux électeurs
De se savoir sacrifier face à ces rêveurs
Tous sont idem, droite et gauche sont à la traîne
Personne n’est à l’abri de nos futures chaînes
Dès demain, ramenons ces fous à la raison,
Sinon notre futur sera notre oraison,
Combattons par nos vers, nos chants et la culture,
Vainquons, gravant en leurs têtes, des termes purs.
Des deux mains, élevons haut nos drapeaux
Et Mon Petit Luron, je te le dis bien haut!
Eux brandissent leurs drapeaux avec notre sang
Anéantissons les! Avant qu’ils contaminent nos enfants
Avec vous, je la veux, cette société humaine,
Qui, de ses salops, enlève leurs messages de haine,
Qui détruit l’étrange vide, cette bulle immense,
Pour que de nouveau ensemble advienne la chance.
Ensemble, grandissons notre chaîne humaine
Sans haine, ni arme et violence, formons cette chaîne
Eloignant ce danger qui s’agrandit et nous relance
Sur Internet et médias juxtaposés, endoctrinant enfants
Je vous offre, comme vous pouvez le voir,
Mes rêves blancs pour ôter les idées noires,
Et pour chasser la grisaille de la vie,
Partagez avec moi mes lumières d’envies.
Je vous partage ces quelques lignes intimes
Afin d’ouvrir vos écoutilles dans le sublime
Afin de ne pas s’embarquer avec ces fanatiques
Et d’offrir la chance à nos enfants meilleur avenir…
Pour qui ?
A quoi ?
Pour quoi ?
A qui ?
Pour qui ?
A quoi ?
Sans foi
Ni loi
Sans vous...
Enfin, une terre
Plus humaine...
Tout est dit...
Sans fin pour nous...
(Duo Luron 1er)
Pour quoi, pour qui, donnez raison à des cons ?
Pour nous, sûrement pas pour faire semblant,
C'n'est pas à nous de s'abonner aux leçons.
A quoi, à qui, vaut-il s’abonner d’violences ?
A qui, à quoi, pardonner sans façon aux sal’fions… ?
Chez nous, certainement sans airs, ni révérences,
C’est à vous d’vous agenouiller sous leurs violences ?
C'est bien à eux de prendre de justes références,
Sans jamais magouiller aux sons de leurs faux canons,
Quand certains déjà entament encore la polémique,
Croire que guerre est un problème épidémique.
Combien même surprendre pure de leurs indifférences et d’insuffisances,
A parler et souligner face a ces Bédouins jumelés sans façons, ni leçons,
Vents incertains semant et entravent, ils picorent l’air incertain et lubrique,
La foi, nourri terres de sagesses reste satirique et depuis en sommes tous ludique.
Nous les combattrons avec nos beaux mots d’humour,
A ceux qui ne comprennent pas nos maux d’amour,
S’ils pensent que la mort est leur unique paradis,
Qu’ils y aillent sans nous, c’est bien ce qu’on leur dit.
Ils s’exposent sous quelques pseudos, nous engloutissent, nous envahissent,
Nous imbibes et essais de nous convaincre, côtoies avec certaines âmes faibles,
Meurtris, s’animent et relancent de leurs magies satiriques pour la vie, s’exhibent,
La poésie s’exclue parfois. Car ils savent que nous sommes tous Charlie et fier.
De qui ? De quoi ? Faut-il imprimer la malchance,
De quoi ? De qui ? Donner sans façon, sans audience,
L’unité de nos réponses se doit d’être unanime,
Barrer les crimes odieux amenant la déprime.
Pour quoi ? Pour qui ? Faut-il s’emballer et protéger nos enfants.
Pour qui ? Pour quoi ? Offrir mille raisons, sans souffrances.
S’invitant de nonchalance, nous soudoyez de proverbes intimes.
Saupoudrant de bien vaillances, vouloir nous protéger, chance ultime…
Pour nos parents qui déjà ont passés les guerres,
Pour nos enfants, ne vivent les souffrances de naguère,
La raison, sans ces fous, doit enfin l’emporter,
Pour qu’une paix durable soit toujours adoptée.
Offrir à nos enfants meilleurs avenirs sans prise de tête
Prouver à nos parents qu’on est mieux qu’eux, on s’entête
Avec mille façons, éloigné de ces Fous, les ignorer, les éloigner
On s’acharne a tue tête, loin de ces fanatiques, qu’on va éliminer
Révolutions justifiées face aux dictateurs,
Ne doivent être remplacées par des prédicateurs,
Par certaines politiques, invités à la chaîne,
Pour qu’aujourd’hui, comme avant, on se déchaîne.
Évolution sacrifiée, de grâce aux électeurs
De se savoir sacrifier face à ces rêveurs
Tous sont idem, droite et gauche sont à la traîne
Personne n’est à l’abri de nos futures chaînes
Dès demain, ramenons ces fous à la raison,
Sinon notre futur sera notre oraison,
Combattons par nos vers, nos chants et la culture,
Vainquons, gravant en leurs têtes, des termes purs.
Des deux mains, élevons haut nos drapeaux
Et Mon Petit Luron, je te le dis bien haut!
Eux brandissent leurs drapeaux avec notre sang
Anéantissons les! Avant qu’ils contaminent nos enfants
Avec vous, je la veux, cette société humaine,
Qui, de ses salops, enlève leurs messages de haine,
Qui détruit l’étrange vide, cette bulle immense,
Pour que de nouveau ensemble advienne la chance.
Ensemble, grandissons notre chaîne humaine
Sans haine, ni arme et violence, formons cette chaîne
Eloignant ce danger qui s’agrandit et nous relance
Sur Internet et médias juxtaposés, endoctrinant enfants
Je vous offre, comme vous pouvez le voir,
Mes rêves blancs pour ôter les idées noires,
Et pour chasser la grisaille de la vie,
Partagez avec moi mes lumières d’envies.
Je vous partage ces quelques lignes intimes
Afin d’ouvrir vos écoutilles dans le sublime
Afin de ne pas s’embarquer avec ces fanatiques
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Pour qui ?
A quoi ?
Pour quoi ?
A qui ?
Pour qui ?
A quoi ?
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Sans vous...
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Tout est dit...
Sans fin pour nous...
(Duo Luron 1er)
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