Quo Vadis
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Quo Vadis
Là où la terre tremble, hommes mourants en silence,
là où mer fend impertinence, cri désolant impatience.
Hommes pleurant malheur d’abstinence insouciante,
sans plus aucune valeur, à quand la fine souffrance?
Face à tant d’ignorances se confondent douce insolence,
miroir semblant flétrir à seule et unique espérance?
Lieu saccagé, rimes primant sans limite de vigilances,
reste unique expérience… A chacun sa croyance…
Délivrance ne sera moins vaillance,
face à ce rude chemin on se fait violence.
N’es que pure absence face à toute équivalence.
Resteront protégés, nos regards les plus raisonnés…
Sous vos pleures jamais exaucés,
c’est la faute de personne,
c’est la faute de tout le monde.
A quand la fin de cette génération abstinente?
Pour laisser place à l’effervescence,
que chacun réclame de sa malchance…
A chacun fine hypocrisie qui ne suffit si bien prononcé.
Dans des parjurés agacés en gras, bien soulignés.
Jamais dévoilé car protégé jamais démasqué.
A quand la fin de cette mascarade bien maquillée…
A l’aube, au crépuscule au bord de l’étang,
les cigognes se meurs de se savoir seules.
Au milieu de ces morts, vivants heureux fut un temps.
Aujourd’hui, encre seiche, parchemin se poursuit au vent…
Là où terre tremble, hommes mourants en silence
Là où mer fend impertinente, cris désolants d’impatience.
Hommes pleurant malheur d’abstinence insouciance,
sans plus aucune valeur. A quand fine souffrance?
là où mer fend impertinence, cri désolant impatience.
Hommes pleurant malheur d’abstinence insouciante,
sans plus aucune valeur, à quand la fine souffrance?
Face à tant d’ignorances se confondent douce insolence,
miroir semblant flétrir à seule et unique espérance?
Lieu saccagé, rimes primant sans limite de vigilances,
reste unique expérience… A chacun sa croyance…
Délivrance ne sera moins vaillance,
face à ce rude chemin on se fait violence.
N’es que pure absence face à toute équivalence.
Resteront protégés, nos regards les plus raisonnés…
Sous vos pleures jamais exaucés,
c’est la faute de personne,
c’est la faute de tout le monde.
A quand la fin de cette génération abstinente?
Pour laisser place à l’effervescence,
que chacun réclame de sa malchance…
A chacun fine hypocrisie qui ne suffit si bien prononcé.
Dans des parjurés agacés en gras, bien soulignés.
Jamais dévoilé car protégé jamais démasqué.
A quand la fin de cette mascarade bien maquillée…
A l’aube, au crépuscule au bord de l’étang,
les cigognes se meurs de se savoir seules.
Au milieu de ces morts, vivants heureux fut un temps.
Aujourd’hui, encre seiche, parchemin se poursuit au vent…
Là où terre tremble, hommes mourants en silence
Là où mer fend impertinente, cris désolants d’impatience.
Hommes pleurant malheur d’abstinence insouciance,
sans plus aucune valeur. A quand fine souffrance?
Re: Quo Vadis
ce n'est jamais facile de commenter un poème surréaliste, mais je reconnais que cette lecture m'a vraiment plu.....amicalement
POPA1234- Messages : 155
Date d'inscription : 29/06/2016
Age : 60
Localisation : univers
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